Cat • Washing Machine Heart

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal


Cat • Washing Machine Heart

+5
Max Treadway
Haelyn Taylor
Yael Horowicz
Valery Nicholson
Cat Rodriguez
9 participants
Cat Rodriguez
Cat Rodriguez
We own the night
Avatar : Tashi Rodriguez
Age : 23
Occupation : Caissière dans un fast-food 3j/semaine, faussaire de toiles impressionnistes pour le Lux Network.
Localisation : Compton
Affiliation : Lux Network (99ers par la famille)
Crédits : labxnairs
   

Cat Rodriguez

► ft. Tashi Rodriguez
(crédit : ultra-violences ; wingardum)

“'Cause we're a lot alike, in favor, like a motorbike, a sailor and a nightingale.”





IDENTITÉ

PRÉNOM(S) : Cat. Ma mère est probablement la seule personne à se rappeler mon prénom complet et à l’utiliser à l’occasion, lorsqu’elle est particulièrement contrariée : Catriona.
NOM : Rodriguez, comme probablement quelques millions de personnes dans l’État de Californie.
SURNOM(S) : Pour le Lux Network, je suis (peu) connue sous le pseudonyme de Nightingale, un sobriquet qui me vient de mon frère, le spécialiste des noms d’oiseaux, parce que j’ai tendance à m’activer au crépuscule. Pour le reste, j’ai entendu toutes les variations possibles de Cat : Catty, Kitty, Kitten…
ÂGE : 22 ans, née le 6 février 2001.
LIEU DE NAISSANCE : Compton, born and raised, avec l’ambition de ne peut-être pas y crever.
NATIONALITÉ(S) ET ORIGINE(S) : Américaine, de parents portoricains.
OCCUPATION : Je travaille dans un fast-food trois jours par semaine. Donne un cours de peinture au centre communautaire deux fois par semaine. Et peins depuis un peu moins d’un an de faux impressionnistes pour le compte du Lux Network.
AFFILIATION : Par ma famille, affiliée aux Niners. Une loyauté de classe entre gratitude et ressentiment, en marge d’un gang que je n’ai jamais réellement choisi. En parallèle et dans le plus grand secret, je bosse pour le Lux Network. Une porte de sortie coupable.
STATUT CIVIL ET ORIENTATION : Célibataire, en théorie. Dans les faits, c’est un peu plus compliqué. Je suis l’Autre. L’une des autres, du moins. Celle qui n’a pas de respect, pas de dignité, pas de honte, pas de scrupules, pas de remords, pas d’importance. Mais je savais dans quoi je m’embarquais, alors j’ai pas vraiment le droit de me plaindre. Pour ce qui est de mon orientation, je ne me pose aucune limite.
CARACTÈRE


Grandir à Compton, ça vous forge un caractère. Par nécessité, par instinct de survie. Ça détruit ou ça pousse à la résilience, et j’ai choisi la deuxième option.

Ça rend débrouillard, hyper-vigilant, un peu égoïste, souvent désabusé.

Mais ce qui m’a sauvée du cynisme et de la résignation, c’est l’art. La peinture. J’ai toujours eu des crayons ou des pinceaux dans les mains pour imaginer des mondes plus beaux dans lesquels dissimuler ma part de douceur et la préserver de l’endurcissement.

C'est ainsi que j’ai su garder mon empathie et ma compassion. Pour les autres, tous les autres, surtout ceux qui en sont généralement privés, pour ma ville et ses habitants, pour sa jeunesse abandonnée et ses vieillards oubliés, pour la totalité du spectre humain entre les deux. Cette sensibilité me gêne un peu parfois aux entournures, mais c’est un trait auquel je m’accroche avec férocité. Sans lui il ne reste plus que le désenchantement, et on sait où ça mène à Compton... Il n’y a qu’à regarder mes frères.

Et s’il m’arrive souvent de m’oublier un peu dans mes engagements, c’est pour mieux rêver de m’envoler une fois livrée à moi-même : la violence du quotidien m’étouffe, j’ai souvent peur de lui céder, de la laisser dévorer mon humanité. Fuir est une trahison, mais fuir est devenu une question de survie.



I hope they’ll never understand us

2001 : Dans mes tout premiers souvenirs, il y a les mains de ma mère, râpeuses et éternellement imprégnées de l’odeur de javel. Et puis les baisers moustachus de mon père, les chamailleries complices de mes frères. Il y a l’amour. À cette époque, c’est tout ce qui m’importe. Je ne vois pas le reste. Ma mère qui part travailler tous les jours avant l’aube, et revient la peau et les poumons brûlés par les détergents. Mon père qui prend la relève à son retour, pour ne revenir que tard la soir, endolori et poussiéreux. C’est une vie normale, plus ou moins la même que celle des autres gamins du quartier. Des parents qui se tuent à la tâche, cumulent parfois deux ou trois emplois dans l’espoir de nous offrir l’avenir radieux dont nous n’aurons probablement jamais les clés. Si le rêve américain possédait encore un vague sens dans leur jeunesse, il a déjà fini de s’effondrer à ma naissance. Mes frères aînés, Ezequiel et Gualtiero, l’ont compris avant moi. Et à mon tour, quand toute naïveté m’a désertée, j’ai tenté d’épargner mes cadets Pablo et Valentina.

2012 : Un jour, mon père ne rentre pas du travail. Quand il revient finalement à la maison, il passe la porte dans un fauteuil qu’il ne quittera plus jamais. Avec un emploi en moins, la situation se détériore vite. Ma mère prend un second boulot, mais ça ne suffit pas pour nourrir une famille de sept. Les factures et les dettes commencent à s’accumuler, les lettres de notre propriétaire à devenir de plus en plus menaçantes. En quelques semaines, on risque soudain la rue. Zeke a 15 ans. Gualtiero en a13. Des enfants qui jouent à être des hommes, contraints de le devenir avant l’heure pour sauver leur famille. Recrutés par les 99ers, ils plongent tête la première dans un monde souterrain fait de violence, de rivalités mesquines, de guérillas de territoire, de virilité performative, d’argent mal gagné et vite dépensé. À 11 ans, j’ignore encore toutes ces implications. Je constate simplement le changement qui s’opère dans le regard de mes frères : plus dur, plus soucieux, plus lointain. Ils n’ont plus de temps ou d’intérêt pour nos jeux de gamins. Je sais que c’était grâce à eux que nous avons encore un toit au-dessus de nos têtes. Mais j’en veux à l’univers de me les avoir volés. Une injustice primordiale que je ne suis jamais parvenue à digérer.

2012-2017 : De plus en plus, je m’ennuie à l’école. Ces heures perdues à étudier des concepts déconnectés de ma réalité sont une torture : je ne comprends pas ce que je fous là, pendant que ma mère s’épuise à gagner un salaire de misère, que mon père a besoin de soins et de compagnie, que mes frères courent les rues et trafiquent pour ramener de l’agent à la maison. Je me sens inutile, je me désinvestis, griffonne ce qui me passe par la tête sur mes livres de cours, sèche pour ne rien faire de plus productif que de fumer des joints avec quelques amis… Des joints, je passe à quelques traces à l’occasion, aux cachetons qui circulent allègrement dans les milieux que je fréquente. J’aurais probablement continué, aspirée dans ce cercle vicieux comme tant d’autres autour de moi, si un prof un peu plus attentif que les autres ne m’avait suggéré, au détour d’une copie barbouillée, un cours de peinture donné gratuitement au centre communautaire du coin. Je suis désœuvrée, j’ai toujours aimé dessiner, je vais voir. J’y trouve un mentor, une passion et une salvation. La peinture devient ma thérapie, ma catharsis. Mon refuge.

2017-2021 : J’arrête le secondaire à 16 ans, avant ma graduation. Je ne vois pas vraiment l’intérêt de continuer, et la famille a grand besoin d’un revenu supplémentaire. Valentina est clairement l’intellectuelle de la famille, c’est elle qui aura besoin de soutien et de tout l’argent qu’on pourra trouver pour faire des études. Durant ces années, je fais un peu de tout, enchaînant docilement toutes les formes d’exploitation possibles. Des emplois précaires et des horaires chaotiques pour un salaire ridicule, je me noie lentement dans un ordinaire sordide, me raccrochant toujours du bout des ongles au fil rouge de ma peinture. Mon professeur me fait découvrir l’impressionnisme et je suis aussitôt transportée. C’est exactement ce dont j’ai besoin : un monde de douceur et de lumière, de riches Européens alanguis dans des parcs, de paysages bucoliques et de danseuses éthérées, à l’opposé de mon quotidien. Je m’amuse à reproduire les toiles qui me fascinent, chaque coup de pinceau chassant pour un temps la réalité. Le matériel coûte cher, je prends donc l’habitude de peindre et repeindre sans cesse sur les mêmes toiles, une vision en recouvrant une autre. C’est aussi l’époque de mes premiers crushs. J’explore quelques brèves relations tout en commençant à développer une sorte de fascination pour un pote de mon frère. Il est déjà en couple avec une fille, pour qui je jurerais que Gualtiero a lui-même un faible. Mais on n’est pas du genre à parler de ces trucs-là. J’observe leur ballet de loin, toujours reléguée en périphérie de leur univers de violence et de folie. Je suis la petite sœur, celle qu’on protège, celle qu’on oublie, celle qu’on se coltine parfois dans un soupir.

Juin 2021 : Tout bascule. Zeke est tué dans un règlement de compte entre gangs, Gualtiero et son pote Jaydee sont emprisonnés. Je deviens soudain l’aînée, celle qui doit à son tour protéger les petits, le dernier rempart. Zeke est « mort en héros », ne cessent de clamer ses frères d’armes, et son statut auréole maintenant la famille. L’étau des 99 se resserre autour de nous, tout à la fois protecteurs et ombre menaçante. Mais ils ne peuvent rien contre les larmes intarissables de ma mère, contre le regard vide et le silence de mon père, contre ma solitude, la colère de Pablo, l’angoisse de Valentina. Je rends visite à Gualtiero toutes les semaines. À Jaydee aussi. Je les peins, libres et heureux comme ils ne l’ont peut-être jamais été, loin des barreaux. Et Zeke, en vie. Je réécris leur destin d’un millier de façons.

2022-2023 : Un an plus tard, Jaydee sort de prison. Gualtiero en a encore pour neuf de plus. Nous continuons de rentre visite à mon frère, souvent ensemble, pour que le long trajet en bus paraisse un peu moins long. Ça nous rapproche, d’une certaine manière, à la fois intime et superficielle. Je sais qu’il est toujours avec sa copine et ça ne m’arrête pas. Je me sens coupable, je me sens merdique, mais c’est comme si je ne pouvais pas m’en empêcher. Peut-être parce qu’il est resté pendant si longtemps une sorte d’obsession inaccessible, un fruit interdit soudain venu se décrocher dans ma main. Peut-être par pur égoïsme. Ou par défiance, parce que je sais que Gualtiero n’approuverait pas, et que je lui en veux de m’avoir abandonnée une seconde fois.

En parallèle, ma vie prend soudain un tournant inattendu. Mon vieux prof a usé de ses contacts pour me décrocher une petite exposition dans une galerie de Santa Monica. J’y expose quelques originaux et deux ou trois reproductions. Rien ne se vend, mais quelques semaines plus tard, toujours par l’entremise de mon mentor, je suis approchée par un mystérieux client pour une commande. On me demande une reproduction fidèle d’un petit Sisley, et on me fournit tout le matériel en prime : la toile (ancienne), les pinceaux (pas du synthétique) et les pigments (vibrants), d’une qualité que je n’ai jamais pu me permettre. Je ne suis pas stupide, je me doute bien que le plan n’est pas tout à fait innocent, mais je ne peux pas cracher sur ce type d’argent. Le travail fourni semble satisfaire et les commandes se succèdent. D’abord au compte-goutte, des œuvres mineures et des peintres dont je n’ai même jamais entendu parler. Et puis plus régulièrement, un Seurat, un Caillebotte, un Pissarro…

Prudemment, par petites touches, le Network m’apparaît. Je n’en suis qu’un pion insignifiant, une petite main en marge du véritable réseau, mais c’est sûrement déjà trop. Je communique avec mes mécènes par messagerie cryptée, sous le pseudonyme de Nightingale, un surnom que me donnait Zeke. J’ignore ensuite où vont mes toiles, si elles sont revendues, échangées, ou que sais-je encore. Je m’en fous un peu, l’argent tombe, aussitôt réinvesti dans la famille. À mon sens, ce n’est pas un vrai crime : l’art existe pour être admiré, si l’on ne peut pas distinguer le vrai du faux, alors qu’est-ce que ça change ? Et je n’irai pas pleurer non plus sur la possible escroquerie de riches pigeons. Non, ma culpabilité est ailleurs. Aux origines : à Compton, et chez moi, on appartient aux 99ers. Je sais que personne autour de moi ne comprendrait cette infidélité, cette porte de sortie que j’entrouvre vers un destin différent. Mais je suis prête à tout pour la prendre. Un jour, je quitterai ce quartier, et tout ce qui va avec. J’offrirai à mes parents une retraite dorée pour compenser les années volées, et à Pablo et Valentina, ce putain d’avenir radieux.


PSEUDO : Opheo
ÂGE : 36 ans
PAYS : Canada
MULTICOMPTE : Non.
INVENTÉ, SCÉNARIO OU PRÉ-LIEN : Inventé.
COMMENT ES-TU ARRIVÉ(E) SUR ATN ? Par une pub sur un serveur discord je crois.
UN DERNIER MOT ? Vos titres de catégorie ! Je me suis amusée à essayer de retrouver toutes les chansons sans l’aide de Google (j’ai échoué), mais je suis fan  jaime

FICHE CODÉE PAR NYXBANANA
Valery Nicholson
Valery Nicholson
Serment d'hypocrite
Avatar : Matthias Schoenaerts
Age : 46
Occupation : ancien chirurgien cardiothoracique reconverti vétérinaire. Propriétaire d'une clinique plantée à Santa Monica.
Localisation : Entre Santa Monica et Venice, où il vit. Où les Six ont leurs repères.
Affiliation : médecin des Six, l'éthique et la morale basses.
Autres :
Crédits : chandelyer (avatar et profil) | awona (signa)
   
Oh dang, cette inscription et cette fiche express. drama

Quel plaisir de découvrir Cat, son histoire et les rêves qu'elle nourrit pour sa famille.
Je suis une fragile, je me laisse toujours submerger par ce type de background. cry2

Bienvenue parmi nous ! Hâte de voir ce que vous allez nous concocter avec Jaydee. Sparkles
Yael Horowicz
Yael Horowicz
We own the night
Avatar : Jennifer Connelly
Age : 44
Occupation : assistante du procureur
Localisation : entre son appartement de Downtown et le quartier de Silver Lake où vit sa famille
Affiliation : Tigrovi Klan, une collaboration qui ne l'enchante guère mais dont elle sait tirer profit
Crédits : me
   
J'adore incr Le caractère du perso, le réalisme cru du background qui contraste avec la douceur de ta plume, etc. Franchement, très hâte de découvrir ce que tu vas faire de Cat et de lire ses aventures avec Jaydee ! Nos persos vivent un peu dans deux mondes très éloignés mais, qui sait, on trouvera peut-être l'occasion de se croiser ^^
Bienvenue ici dans tous les cas !
Haelyn Taylor
Haelyn Taylor
We own the night
Avatar : Polly Ellens.
Occupation : Prostituée ✩ Ton corps s'offrant aux mains qui se tendent. L'esprit s'effaçant pour ne laisser qu'une coquille vide. Le métier qui prend une partie de ton âme chaque soir.
Localisation : Santa Monica ✩ Dans les rues, t'as pas ton mot à dire. Sinon chez toi, petit appart miteux, mais dans le fond, tu n'as ta place nulle part.
Affiliation : The Six ✩ Ramassée sur un trottoir, comme si c'était ta destinée. Comme si tu avais le loisir de choisir autre chose.
DC : Alianova Sullivan - Dylane Maxwell - Isadora Johnson.
Autres :
They wanna break me
Cat • Washing Machine Heart Tumblr_inline_pdrtkjFZvt1uzl60b_400
And wash away my colors

Crédits : @Angie (avatar), PrettyGirl (signature).
   
Comme mes vdd je suis fan de cette demoiselle. han
Bienvenue par ici. heart
Cat Rodriguez
Cat Rodriguez
We own the night
Avatar : Tashi Rodriguez
Age : 23
Occupation : Caissière dans un fast-food 3j/semaine, faussaire de toiles impressionnistes pour le Lux Network.
Localisation : Compton
Affiliation : Lux Network (99ers par la famille)
Crédits : labxnairs
   
Merci à vous trois, ça fait très plaisir de voir que Cat vous plaît ! cute
Bien bien hâte de la développer en jeu et de croiser vos plumes han
Max Treadway
Max Treadway
We own the night
Avatar : Ethan Hawke
Age : 56
Occupation : Capitaine du SWAT - LAPD
Localisation : LA
Affiliation : LAPD
DC : Gabriel Medina & Lorcan Kelly
Crédits : avatar par Harleystuff
   
Bienvenue Cat ! J'adore ton avatar, il donne du peps je trouve haan

Je ne te souhaite pas bon courage pour ta fiche vu que tu as été sur le speed (on aime ça hehe ) mais le coeur y est !

Tchou heart heart
Ian Smith
Ian Smith
Tigrovi
Avatar : Gerard Butler (2003)
Age : 36
Occupation : Recrue tigrovi
Localisation : Skid Row
Affiliation : Tigrovi (recrue)
DC : Manny & Lena & Spartan & Dean
Autres : Real name : Jlaaden Saranovic (né à Sarajevo)
Cat • Washing Machine Heart YZXroSK
Cat • Washing Machine Heart Taz-le-diable-de-tasmanie

Crédits : Tkv
   
Whooouuu !
Rhooo làlà quelle fiche ! quel personnage ! incr
Bienvenue sur ATN heart
The Night
The Night
The day (that) never comes
Avatar : Faceless
Localisation : Quelque part dans la nuit
Crédits : Takverd
   


Tu es validé

Welcome to the dark side


Nous te souhaitons officiellement la bienvenue parmi nous ! Maintenant que tu es validé, voici comment faciliter ton intégration :

▬ Tout d'abord, assure-toi d'avoir bien pris connaissance du concept d'ATN, c'est un point essentiel.
▬ Nous te recommandons également de lire le guide du joueur qui t'aidera à t'y retrouver sur le forum, notamment concernant les différentes intrigues et évolutions du contexte.
▬ Nous t'encourageons à créer une fiche de liens pour ton personnage, afin d'y indiquer les liens que tu pourrais rechercher, mais également pour permettre aux autres membres de te contacter. Il ne faut surtout pas hésiter à aller vers les autres pour leur proposer tes idées.
▬ Tu peux également créer un moodboard, cet espace t'es destiné, utilise-le comme bon te semble.
▬ Si tu ne sais pas par où commencer, cet espace est fait pour toi. Tu y trouveras les RP libres en attente de réponse, mais également les contextes qui attendent preneurs. Tu peux également rechercher des partenaires de jeu dans ce sujet.
▬ Si ton personnage est friand de réseaux sociaux, il pourra ouvrir un compte Instagram, ou s'inscrire sur Tinder.

Considère ATN comme un terrain de jeux qui ne demande qu'à être exploité, n'hésite pas à participer aux évents, aller vers les autres joueurs, lire les newsletters, ... Et s'il reste des zones d'ombres, n'hésite pas à contacter le staff via le compte admin.

Anna Reyes
Anna Reyes
We own the night
Avatar : Jenna Ortega
Occupation : Etudiante en Art le jour, peintre faussaire la nuit
Affiliation : Lux Network
Autres : Cat • Washing Machine Heart Icegif-1471
Crédits : fassylovergallery + signature by SIAL
   
J'arrive après la guerre mais wahou ce personnage heart cute il faudra que je vienne te voir pour un lien, elles ont beaucoup trop de points communs !
Joyce Shelter
Joyce Shelter
Midnight Sun
Avatar : Anya Taylor Joy || Soeurdelune
Age : 28
Occupation : Vétérinaire à la Pacific River || Santa Monica
Localisation : Exposition Park
Affiliation : Rod chez les Six, parrainée par Valery Nicholson
Autres :
「  MOODBOARD‚
 liensfiche
 」

Cat • Washing Machine Heart C092905762ec18d4bba01b959112ffea0dfdf8b6

⠇⠥⠍⠊⠮⠗⠑

Valery - Haelyn - Billie - Isadora


Crédits : Flairflorae, Soeurdelune
   
Même pas le temps de passer sur ta fiche ! cute
Bienvenue parmi nous, Cat a l'air incroyable, je l'adore ! Sparkles
Bon jeu sur ATN coeur
Cat Rodriguez
Cat Rodriguez
We own the night
Avatar : Tashi Rodriguez
Age : 23
Occupation : Caissière dans un fast-food 3j/semaine, faussaire de toiles impressionnistes pour le Lux Network.
Localisation : Compton
Affiliation : Lux Network (99ers par la famille)
Crédits : labxnairs
   
Oh wow, vous êtes des rapides ! Merci beaucoup pour la validation et pour les mots doux, ça fait chaud au cœur ! heart
@Anna Reyes, je suis allée faire un tour sur ta fiche et je suis d'accord, il nous faut définitivement un lien !! han

Contenu sponsorisé