Lorcan Kelly

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Lorcan Kelly

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Nives Milkovic
Lorcan Kelly
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Lorcan Kelly
Lorcan Kelly
We own the night
Avatar : Cillian Murphy
Occupation : Auteur à succès
Affiliation : Aucune
DC : Max Treadway & Gabriel Medina
Crédits : Lilie (La boîte à idées)
   

Lorcan Kelly

► ft. Cillian Shelby
(crédit : Lilie)

Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants.





IDENTITÉ

PRÉNOM(S) : Aujourd'hui Lorcan. Il s'agit en réalité de son second prénom puisqu'il a dû changer d'identité. Il est né "Ciaran", prénom qu'il n'utilise plus du tout.
NOM : Kelly. Le nom de jeune fille de sa mère. Avant son changement d'identité il portait le nom de son père : Walsh.
SURNOM(S) : //
ÂGE : 47 ans. Il est né le 28 septembre 1976 quoi que son passeport et sa carte verte indique le 12 juin 1976.
LIEU DE NAISSANCE : Belfast.
NATIONALITÉ(S) ET ORIGINE(S) : Il a obtenu sa carte verte Américaine mais il a la nationalité de ses origines : irlandaises.
OCCUPATION : Auteur à succès. Il écrit des romans très noirs, des thrillers psychologique avec des passages glissant parfois dans l'horreur. Il lui arrive de se montrer graphique en quelques occasions.
AFFILIATION : L'IRA, dans une autre vie. A personne en particulier à Los Angeles.
STATUT CIVIL ET ORIENTATION : Veuf et père d'un fils partit trop tôt, bisexuel
CARACTÈRE

Ne dites pas à Lorcan qu’il est anglais. Il n’aime pas l’entendre et ses sourires à ces occasions sont toujours faux. Il est irlandais, possède un orgueil très encombrant à ce niveau et porte l’héritage d’un long conflit avec les Britanniques de tous poils.

Son tempérament est plutôt celui d’un homme calme en général mais ses accès de colère peuvent se révéler étrangement démonstratifs et violents. La colère n’est jamais brûlante chez lui. Elle est toujours glacée bien au contraire et on peut facilement la voir arriver dans son regard, signe précurseur avant que la tempête ne s’abatte.

Il est pince sans rire, apprécie l’humour noir ou satyrique. Lorcan aime la compagnie des intellectuels et c’est un amateur des échecs ou, à l’occasion, de parties de jeu de go. Il aime lire le journal de bon matin, suivre les infos sur son portable dans le courant de la journée…

Sensiblement misogyne il a parfaitement conscience d’avoir des opinions et des préjugés d’une autre époque à ce sujet. Mais il trouve que les femmes modernes prennent souvent trop de place et que les féministes l’ouvriraient peut-être moins si on leur remettait les idées en place avec quelques gifles. Il pense qu’il les respecte, mais qu’il ne fait que leur rappeler leur place.

Sentimentalement il trouve un certain « lâcher-prise » à se retrouver avec un homme. Il peut accepter d’être dominé entre les draps. Mais une relation ouverte et consensuelle dans la durée impliquerait que sa moitié lui laisse la domination du couple dans les autres aspects de leur vie. De fait ses aventures masculines sont toujours de courte durée, parfois conflictuelles et surtout plutôt rares.

Lorcan est sourd. Gravement blessé dans un attentat à la bombe raté, ses tympans se sont crevés mais surtout ses os se sont fragmentés. Opéré il y a quelques années il porte un implant cochléaire aujourd’hui et n’apprécie pas beaucoup qu’on le lui fasse remarquer. Il pratique aisément langue des signes britannique et celle américaine. Il peut également lire sur les lèvres.

Fumeur invétéré il dit souvent que si rien ne l’a tué en Irlande, c’est la cigarette qui aura sa peau. C’est un ennemi contre lequel il ne lutte pas vraiment. L’hiver il est souvent victime de quelques trachéites à cause de ça mais globalement, considérant sa consommation, il s’en sort bien.

Lorcan écrit beaucoup. Il a sorti quelques best-sellers qui lui assurent de jolies rentes et un de ses romans fait actuellement l’objet d’une étude pour une adaptation cinématographique. Son genre tourne autours du roman noir, des thrillers psychologiques avec des touches d’horrifique. Dans ses deux derniers bouquins il a glissé quelques passages plus graphiques qui ont finit d’agacer les grenouilles de bénitiers conservatrices américaines.

Marié une seule fois, son épouse est morte en couche. Elle avait fait le souhait de mettre au monde leur enfant à domicile mais les choses se sont mal passées et l’ambulance a mis trop de temps à arriver. Bien que ce fut une énorme blessure, elle tend à s’être bien refermée aujourd’hui. La mort de son fils lorsqu’il avait 7 ans en revanche est une blessure dont il ne s’est jamais remis. Il reste très amer à ce sujet et n’en parle pas. La culpabilité qu’il éprouve à ce sujet ne finira sans doute jamais de le ronger.

Finalement, c'est un homme souvent un peu désagréable ou cynique. Mais qui peut se montrer très loyal lorsque la cause lui est sensible.


TITRE D'HISTOIRE
Lorcan venait de se laisser tomber devant l’échiquier. En face de lui une chaise vide pour tout adversaire et un plateau de jeu qu’il pouvait débloquer pour le faire tourner. Certains jours -beaucoup de jours- les adversaires manquent. D’une main habituée il vient déplacer un pion. Il avait pensé à ce mouvement toute la journée précédente, comme s’il avait joué une partie importante et de qualité avec un joueur respecté. C’était son petit hobby bizarre, disons.

La femme de ménage passe, ne daigne pas lui dire bonjour et elle fait bien : Lorcan ne porte pas son implant cochléaire à cet instant précis. C’était d’ailleurs rarement le cas chez lui à moins qu’il n’attende de la visite. Et à cette heure matinale c’était assez rare. Il avait pour lui le luxe de pouvoir choisir ses rendez-vous, ses horaires… travaillant depuis chez lui et relativement à son rythme, il ne devait pas rendre de compte à grand monde. Son éditeur essayait parfois d’entrer dans sa bulle mais Lorcan ne le laissait jamais vraiment faire. La seule chose qu’il pouvait lui dicter c’était une deadline finale et pour le reste Lorcan faisait au gré de sa fantaisie, pour peu qu’on puisse affirmer qu’il soit capable de « fantaisie ».

Aujourd’hui, Lorcan vivait de ça. De l’écriture. Il avait d’ailleurs toujours aimé écrire. Un talent que sa mère institutrice avait encouragé. Son père n’avait jamais trouvé ça réellement utile mais parce que Lorcan le voyait comme son héros et tentait de l’imiter dans presque tous les autres aspects de sa vie, disons qu’il avait fait avec.

Auteur de romans noirs -et autres en assimilés-. Il n’équivalait peut-être pas les plus grands noms de la littérature mais on était à une époque où la plupart des gens savaient de quoi on parlait lorsqu’on disait « avoir acheté le dernier Lorcan Kelly ». Quant à ceux qui ignoraient encore, disons qu’ils n’étaient pas le problème de Lorcan…

La fortune était venue avec cette situation, lui permettant de vivre dans une maison, d’y faire installer la climatisation et de s’offrir un peu de personnel pour l’entretenir. Lui vivait de ses écrits, de ses conversations hasardeuses avec quelques intellectuels, des parties d’échecs… Et d’huile de CBD en très forte concentration qu’il glissait parfois dans son thé pour mettre son cerveau sur pause. Pas qu’il soit un homme plus intelligent que la moyenne sur un plan strict. Mais c’était un homme éduqué, très instruit sur de nombreux sujet, entre autres pour ses romans et qui aimait se tenir au courant et discuter de manière intéressante. Cette détente, c’était le plus souvent pour mettre les souvenirs sur pause…

Des souvenirs il en avait plein. De l’Irlande bien sûr, de Belfast en particulier. Ses rues et ruelles avaient connues ses premiers pas, ses premiers gadins… Ses premières bagarres aussi et Lorcan devait bien admettre n’en avoir pas remporté beaucoup à l’époque. Une enfance très banale en réalité… Si ce n’était qu’à l’époque il s’appelait encore Ciaran Walsh et que son père faisait partie de ce qu’eux voyaient comme une résistance à l’ingérence Britannique en Irlande… Et que ceux-là appelaient « terroriste ».

C’est comme ça que son père avait un jour finit en prison. Il y était d’ailleurs mort quelques années plus tard d’un cancer généralisé qui ne lui avait laissé aucune chance. Sa mère avait été harcelée même après sa mort par la police et la justice britannique, comme s’ils avaient voulu qu’elle aussi ne meurt. Ils l’avaient tant épuisé que Lorcan est convaincu encore aujourd’hui qu’ils y étaient finalement parvenus, usant son cœur jusqu’à ce qu’il ne s’arrête…

Lui-même avait rejoint les rangs de la résistance. Au début, alors que la majorité frappait à sa porte mais n’était pas encore tout à fait là, il avait des rôles absurdes et ennuyeux. Avec le temps, il avait pris un peu plus de place. Jamais des rôles très physiques, d’accord… Mais il avait toujours possédé ce style « littéraire » acquis dans l’enfance. Un bon bagout, un charme avec ce qu’il faut de charisme… Et il était aidé par un physique un peu atypique pourvu de la mâchoire très carrée de certains hommes et des traits plus doux, de cils féminins. Une ambiguïté physique qu’il avait détesté tout jeune mais qui avait finit par lui servir.

Isla, la femme qu’il avait épousée, il l’avait rencontré via l’IRA d’ailleurs. La fille d’un autre membre de leur cellule. Plus de 20 ans plus tard, Lorcan ne saurait plus tout à fait dire s’ils s’aimaient d’un réel amour ou d’une passion commune pour la cause. Leurs conversations tournaient souvent autours de ces sujets, de leurs frustrations communes, de leurs idéaux pour le pays. S’étaient-ils jamais aimés pour autre chose que pour leurs études ?

Une photo d’Isla traîne encore dans cette bibliothèque. Elle est discrète, dans un petit cadre rond près de la fenêtre, emmêlée dans les rideaux. A 22 ans elle était décédée de l’ambition qu’il jugeait aujourd’hui ridicule de mener sa grossesse à terme chez eux, assisté d’une sage-femme dont ils ne connaissaient pas grand-chose. Une hémorragie imprévue, de celle qu’on rattrape déjà difficilement dans une maternité avait mis un terme à leur rêve de devenir une famille. Riley était né. Et Isla était morte.

Lorcan se relève, bousculant un peu la table d’échec. Il perçoit enfin la présence de la femme de ménage qui se dépêche de disparaître. D’un mini-bar il tire une bouteille de whisky, quelque chose bien de chez lui qui coûtait un rein à l’importation mais qui faisait partit de ses rares caprices. Il s’en sert une dose, sans doute un peu trop grande… Puis il attrape des pierres dans le compartiment réfrigéré pour les laisser tomber dans le verre, lequel finit rapidement à ses lèvres pour qu’il en cale une bonne gorgée brûlante qu’il sent passer de sa langue jusqu’à son gosier.

Il n’aimait pas évoquer Riley. Non en fait il adorait parler de lui. Pourtant les seules photos de lui dans cette maison étaient dans sa poche, dans son portefeuille… Et dans un carton de la penderie. Croiser son regard, même sur papier glacé, lui était toujours incroyablement difficile… Ce fils qu’il avait élevé seul, sa fierté… Lorcan revient prendre une gorgée de son verre. En fait, il boit cul sec ce qui reste. Une véritable offense au prix et au cru de ce whisky mais il avait cru pouvoir éteindre l’incendie de la culpabilité, comme un homme qui oubli que l’alcool ne sert généralement qu’à l’attiser. Mais il anesthésie un peu la douleur… Et le verre est abandonné sur le mini-bar. Lorcan revient se poser devant l’échiquier. Il voudrait oublier ce soir de février en 1993.

Toujours très impliqué dans les affaires de l’IRA bien que la situation politique du pays leur mettait une grande pression, Lorcan avait accepté comme il le faisait souvent de faire passer de la contrebande, essentiellement des armes et des explosifs, entre les deux Irlande.

Est-ce que c’était la fatigue qui l’avait poussé à moins sécuriser les sacs que d’ordinaire ? Est-ce qu’il était débordé ? Est-ce qu’il avait cru les avoir assez mis à l’abri ?

Lorcan serait incapable de dire, aujourd’hui encore, comment il a pré-sentit la chose. Comment il a su instinctivement à ce moment là qu’il devait quitter le salon pour aller à sa chambre… Pour y trouver un enfant trop curieux fouillant dans ces sacs mystérieux qu’il avait vu arriver plus tôt dans la soirée.

D’un geste rageur, Lorcan vient renverser toutes les pièces de l’échiquier.

C’était sa faute… Il ne pouvait blâmer personne d’autre, quand bien même il le désirait si fort depuis 17 ans.

Riley avait sorti un explosif qu’il faut manier avec une grande précaution. Sa voix d’ange innocent avait juste eu le temps de lui demander « c’est quoi ça papa ? » … Et ensuite… Lorcan lui-même ne s’en souvient pas… Jusqu’à ce qu’il se réveil dans un hôpital de Belfast, menotté à son lit, sous perfusion, bandé de partout, sourd. Et père d’un enfant mort.

Aucun châtiment policier ne pouvait effrayer l’homme détruit de l’intérieur comme de l’extérieur qu’il était à cette époque. Et pour l’étouffer il n’y avait eu que la froideur…

Il était devenu cette coquille un peu cynique et froide. Avait profité des derniers sursauts de son organisation et d’une liberté surveillée pour faire changer ses papiers par un homme hautement compétent. Il s’était mis à utiliser son second prénom et le nom de jeune fille de sa mère ce qui créait un vice juridique invisible aux yeux des autorités : les documents étaient légaux… Mais qui aurait cherché Ciaran Walsh sous cette identité ?

Plusieurs années cachés en Irlande puis en France et finalement en Allemagne, Lorcan s’était reconstruit. Du moins les fondations de ce qu’il était. Pour cacher son chagrin, ses idées noires et tortueuse il avait commencé à écrire. Lorcan Kelly avait alors commencé à exister pour de vrai et quelques années encore plus tard, complètement oublié ou presque -puisqu’il existe toujours un mandat d’arrêt à son nom chez Interpol pour terrorisme et même pour la mort de son fils-, ayant obtenu un peu de succès, Lorcan avait immigré aux Etats-Unis.

La suite de sa vie était d’une étonnante banalité en considération du reste…

Depuis 4 ans maintenant il était l’heureux propriétaire d’un implant cochléaire et d’une plaque dans sa tête pour lui redonner un peu de cette ouïe qu’il avait perdu.

Mais son fils, la seule chose qu’il aurait aimé retrouver et pour laquelle il aurait tout donné, resterait ce graal disparu à tout jamais…

A Riley, qui aurait fêté son 24ème anniversaire cette année…


PSEUDO : Azshara
ÂGE : Toujours 39 !
PAYS : France
MULTICOMPTE : Max Treadway & Gabriel Medina
INVENTÉ, SCÉNARIO OU PRÉ-LIEN : Inventé
COMMENT ES-TU ARRIVÉ(E) SUR ATN ? La première fois c'était via une pub sur discord pour un scénario.
UN DERNIER MOT ?  pq .

FICHE CODÉE PAR NYXBANANA
Nives Milkovic
Nives Milkovic
We own the night
Avatar : Merve Boluğur
Age : 34
Occupation : Petit génie de l'informatique, elle a naturellement mis ses talents au service des Tigrovi. Sa spécialité, c'est de découvrir tous les vicieux petits secrets de leurs alliés, comme ceux de leurs ennemis, pour les faire tenir tranquilles.
Localisation : Civic Center
Affiliation : Tigrovi
DC : Billie Stevens & Lou Davis
Autres : Lorcan Kelly 17014574962720512707
Crédits : dionysass (avatar) / awona/ethereal (signa)
   
Je suis toujours ra-vie de te voir débarquer avec un nouveau perso cute

J'ai hâte de lire la fiche de celui-ci coeur

Lorcan Kelly
Lorcan Kelly
We own the night
Avatar : Cillian Murphy
Occupation : Auteur à succès
Affiliation : Aucune
DC : Max Treadway & Gabriel Medina
Crédits : Lilie (La boîte à idées)
   
Aw, c'est vraiment trop gentil comme façon de le dire merci beaucoup ! cute heart
Isadora Johnson
Isadora Johnson
We own the night
Avatar : Adelaïde Kane.
Age : 33
Occupation : Médecin au Dispensaire ღ La vocation d'une vie, le devoir de sauver des vies et d'aider les autres.
Localisation : Skid Row ღ Petit appartement très peu occupé, le nez plongé dans le travail.
Affiliation : Aucune ღ Nul lien avec l'illégalité mais qui sait ce que la vie réserve.
DC : Haelyn Taylor - Alianova Sullivan - Dylane Maxwell.
Autres :
ღ Sauver des vies, ღ
Lorcan Kelly Greys-anatomy-jules-millin
ღ Vivre au service des autres. ღ

Crédits : PrettyGirl.
   
Je suis fan de ce nouveau perso ! incr comme des deux précédents. han
Re bienvenue ! heart
Au plaisir de se croiser en rp. ange
Manny Reyes
Manny Reyes
Soleil
Avatar : Dave Bautista
Age : 54
Occupation : Receleur de voiture de course après l'échec de son entreprise avec son fils
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Affiliation : Lux Network
DC : Ian Smith & Lena Parker Spartan Kaine & Dean Cassidy
Autres : Lorcan Kelly Les-gardiens-de-la-galaxie-2-gif-5f032bb1016c3
Crédits : Tkv
   
olàlà trop de noirceur drama
Re bienvenue et amuse toi bien avec ta nouvelle marionnette heart
Anna Reyes
Anna Reyes
We own the night
Avatar : Jenna Ortega
Occupation : Etudiante en Art le jour, peintre faussaire la nuit
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Autres : Lorcan Kelly Icegif-1471
Crédits : fassylovergallery + signature by SIAL
   
Rebienvenue avec ce super personnage cute et ce choix de fc cute
The Night
The Night
The day (that) never comes
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Lorcan Kelly
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Avatar : Cillian Murphy
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Merci beaucoup à vous trois et merci pour la validation ! heart heart
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