murder song ▬ orito

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murder song ▬ orito

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Takiji Orito
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Takiji Orito
Takiji Orito
We own the night
Avatar : Takamasa Ishihara
Age : 37
Occupation : Mecanicien
Localisation : South LA
Affiliation : None
Autres : murder song ▬ orito Tumblr_n1w5h2Ggy11riu9fuo2_500
Crédits : me
   

ORITO TAKIJI

► ft. Takamasa Ishihara (miyavi)
(crédit : eihwaz)

I'm just a man, I'm only flesh and bone. I can't bring it back on everything I've done. And now there's no one else left to love. I'm used to the darkness.





IDENTITÉ

PRÉNOM(S) : Syllabes qui prennent la tête, le Soleil Couchant qui s’impose. TAKIJI, nouvelle identité visant à le maintenir en vie, à le rendre invisible, à l’intégrer dans une société qu’il abhorre et qui se passerait bien d’individus dans son genre. Il a fini par s’y faire, par devenir ce nouveau lui depuis neuf ans. BUNZŌ laissé pour mort à l’autre bout du monde, un nom qu’il n’a plus entendu depuis près d’une décennie.
NOM : C’est sur ce nom qu’il se retourne à présent, ORITO, il l’a adopté, s’y est accommodé. Il y croit, que c’est lui, en omettrait presque celui qui le relie encore à ceux restés au pays, TAKESHI qui s’efface de son esprit pour mieux les oublier.
SURNOM(S) : pas assez aimable, la sympathie semblant lui être inconnue, il doit bien en inspirer quelques-uns à ceux qui l’emmerdent ou qu’il emmerde, c’est selon. Lui est un homme de tradition, tient seulement à ce qu’ON L’APPELLE PAR SON NOM, et son nom seul, du moins celui qu’il porte aujourd’hui.
AGE : TRENTE-SEPT BALAIS passés sur ce gros caillou qu’est la Terre, presque autant à le détester tant il en a vu ses vices et ses travers, mais c’en est fini des espoirs d’un Monde meilleur. Ça fait déjà bien longtemps qu’il se fait plus d’illusions.
LIEU DE NAISSANCE : mégalopole grouillante aux individus se noyant dans la masse, elle accueille les premiers cris d’un enfant de quartier d’apparence sans histoire. C’est à TOKYO que sa vie commence, et c’est là bas qu’elle a pris fin.
NATIONALITÉ(S) ET ORIGINE(S) : né où naît l’Astre du jour, fier représentant d’un pays qu’il n’a plus foulé depuis son exil, le JAPON qui se retrouve gravé sur sa peau comme dans sa voix, ses intonations et son accent, son faciès qui ne trompe personne et les expressions qui lui échappent un peu trop fréquemment. Pas un grand amateur des gaijins qu’il est bien forcé de fréquenter dans ce pays où il crèche en toute illégalité.
OCCUPATION : la peau sans arrêt couverte de camboui, l’huile de moteur qui assombrit ses mains et son visage à mesure que les journées avancent, le MÉCANICIEN oeuvre autant sur les quatre que les deux roues, ces dernières ayant sa préférence et profitant de son perfectionnisme et de sa passion pour les grosses cylindrées.
L’intérêt pour les motos, que son bōsōzoku n’a fait que décupler durant son adolescence, n’a jamais dépéri depuis, et l’ANCIEN YAKUZA sait mettre son talent en oeuvre pour retaper bagnoles et bécanes, prêt à fermer les yeux sur les impacts de bastos moyennant finances.
AFFILIATION : Liberté retrouvée depuis son exil sept ans auparavant, il est depuis lors LIBRE de toute autorité si ce n’est la sienne, et éventuellement celle de son boss. La douleur et la rancoeur encore vives dans son esprit, l’ancien yakuza préfère encore bosser de loin avec les gangs locaux plutôt que de se risquer à prêter allégeance au premier psychopathe venu.
STATUT CIVIL ET ORIENTATION : ÉLECTRON LIBRE ET MOUTON NOIR, ne recherche personne mais ne se prive de rien, le coeur encore empli d’un souvenir de douceur inégalé, si ce n’est par cette haine féroce qu’il voue au monde entier.
Les AMANTES se succèdent, tiennent plus ou moins longtemps selon celles qui parviennent à conserver son intérêt, aucune n’étant parvenue à surpasser ce fantôme qui le hante et qui le rend rétif à toute idée d’engagement.
CARACTÈRE


HARGNEUX ▬ CYNIQUE ▬ AIGRI ▬ IMPULSIF ▬ VIOLENT ▬ RANCUNIER ▬ BORNÉ ▬ ABRUPT ▬  DÉSABUSÉ ▬ IMPERTINENT ▬ TÊTE BRÛLÉE ▬ IRRÉVÉRENCIEUX

Gros con d’apparence, ce qu’il confirme parfaitement bien dès qu’il l’ouvre. Orito, faut savoir l’apprécier, ou avoir de sérieux problèmes pour supporter sa mauvaise humeur constante et ses insultes bien senties, quoiqu’un poil trop balancées dans sa langue maternelle pour pouvoir au moins profiter de la chose. Le japonais veut pas être là, et il sait le faire savoir, regrette son Japon natal et crache volontiers sur sa terre d’accueil. Qu’importe l’endroit, l’abruti ne sera jamais satisfait tant qu’il n’aura pas remis les pieds sur les terres du Soleil Levant, et c’est pas prêt d’arriver.
Il en veut au monde entier, ne voit plus que la défectuosité de la race humaine au travers des gangs qu’il voit passer dans son garage. Il les hait, ceux-là, pas tant pour ce qu’ils font mais pour ce qu’il y voit, ses propres ambitions et ses propres excès, le sang sur ses propres mains que l’huile de moteur couvrira jamais assez. Ils lui agitent son ancien lui sous le nez et, rien que ça, ça lui donne envie de le leur péter. Mais il fait profil bas, pas si con que ça. Sans papier qu’il est, il tâche de pas faire de vagues, et puis il faut bien avouer que les affaires marcheraient beaucoup moins bien s’il cognait la clientèle. Non ?
.


MURDER SONG


tw & credits & song:

He holds the gun against my head
I close my eyes and bang I am dead
I know he knows that he's killing me for mercy

Nul n’échappe à l’inévitable, à ce que l’on construit, à ce que l’on forge de soi-même et de ce qui nous entoure. De nos choix, de nos ambitions, découlent les conséquences, les pertes et les regrets. Il en émanera ce qui nous hantera pour le restant de notre vie, si tant est que l’on fasse partie des chanceux -ou des malheureux- pour qui elle continue.

And here I go

Je sens l’impact humide d’une goutte qui roule sur ma joue, jusqu’à mes lèvres sèches et bleutées. C’est salé. C’est là que je m’en rend compte, des soubresauts du torse contre lequel je suis appuyée, de l’étreinte qui se resserre peu à peu autour de mon corps trop affaibli pour tenir debout. La rugosité du sol qui écorche mes genoux y laisse des marques rougeâtres se mêlant à celles, violacées, de mes ecchymoses. La douleur est si omniprésente, omnipotente, que le moindre mouvement est une peine plus grande que la précédente. Et pourtant, je parviens à lever le visage vers celui qui me surplombe, celui d’un homme à qui on n’avait jamais rien promis de bon, pas même depuis le lycée où notre histoire a commencé.

Lui, Takeshi Bunzō, membre actif et virulent d’un bōsōzoku*, la brute du lycée aux parents si endettés auprès du clan yakuza local qu’ils en étaient arrivés à leur confier leur propre fils pour des actions de petite envergure. Moi, Uchibayashi Ayuri, élève modèle et déléguée de la classe qu’il daignait fréquenter lorsqu’il finissait par s’ennuyer, le calme et la douceur comme qualités que l’on me prêtait, la détermination comme fer de lance dans mon rôle. Des avenirs tout tracés, pour l’un comme pour l’autre. Lui tatoué et continuant ses exactions au nom de cette mafia lui étant tombée dessus et se l’étant approprié sans vergogne. Moi, avocate, médecin, ingénieure, peu importait tant que le prestige y était. Mais les dés du Destin savent se montrer pernicieux, faire se percuter deux mondes que tout oppose, deux êtres aux antipodes.

Par des confrontations, d’abord, de la déléguée que j’étais et la seule décidée à lui tenir tête, à venir au secours de ceux mis à terre, à dire ses quatre vérités à celui qui ne m’apparaissait pas autrement que comme un animal enragé, un monstre seulement guidé par ses instincts de violence et son ego. Mes mots ont été durs à son encontre, je les regrette encore aujourd’hui.

Par des prises de conscience, ensuite, alors que je me rendais progressivement compte qu’au lieu d’un animal enragé, c’en était un que la peur et l’inquiétude rendaient agressif, la peur et l’inquiétude que les yakuzas s’en prennent à sa soeur et son frère cadets. Il s’était fait le plus enragé de leurs chiens de guerre pour préserver, entretenir leur attention, se montrait plus violent et plus cruel que quiconque pour qu’ils misent tout sur le parfait pantin qu’il était devenu.


C’est ma main qui se lève à présent, et vient se poser sur la joue chaude et trempée de celui qui a compris que notre histoire s’arrête là.

He holds my body in his arms
He didn't mean to do no harm
And he holds me tight

L’étreinte se fait plus forte encore et, malgré la douleur qu’elle intensifie, je n’ai ni la force ni l’envie qu’elle s’arrête. Ses doigts s’enfoncent sur mes bras, sa main droite amputée de deux, vestiges de yubitsume* récidivé. Mais le troisième affront sera le dernier, l’influence qu’il a gagnée au cours de toutes ces années dans cette cour de gangsters rendant les fautes et les hésitations moins tolérées.

Il est parvenu à détourner leurs yeux de ceux auxquels il tenait pendant de longues années, gravissant les échelons pour gagner en puissance, en pouvoir, en argent qu’il investit discrètement dans les études de ses cadets, les envoyant étudier au bout du monde, loin des yeux du clan et de l’oyabun*, loin de l’homme violent et impitoyable qu’il devenait.
Toutes ces années, il n’a eu de cesse que de m’encourager à m’éloigner, de me repousser lorsque je finissais par refuser, pour toujours me revenir. Vivre sans lui m’était impensable, le laisser seul avec son fardeau inconcevable. J’étais son secret, sa bouffée d’air frais, celle qu’il finissait toujours par retrouver, non sans s’être assuré que personne ne le suivait.

J’étais sa force comme sa faiblesse, celle qui lui permettait de garder un semblant de raison malgré les crimes commis comme celle qu’il craignait de perdre s’il faisait le moindre faux pas. Je savais comme lui que ce jour arriverait, pourtant, je lui promettais la liberté, un jour, une identité qui lui appartiendrait.

Mais Bunzō savait que ça n’arriverait jamais, brûlait d’une ambition dévorante, celle de devenir toujours plus influent, plus intouchable, celle de ne plus avoir à s’inquiéter de ma sécurité quand elle serait garantie. À deux reprises, l’oyabun lui fit savoir que son zèle avait des limites, accepta par deux fois sa repentance avant que sa patience ne se soit émoussée. Une banale histoire de hiérarchie, des initiatives qui ne seyaient pas à son grade, l’Icare aura fini par se brûler les ailes à force d’avoir voulu devenir le Soleil.


Les traits habituellement durs de Bunzō se tordent dans toute la tristesse et la culpabilité qui l’accablent, ses larmes ne cessent de rouler sur ses joues, sur ma main. C’est la première fois que je le vois aussi vulnérable, que je vois le désespoir prendre le pas sur sa détermination. Ce monde ingrat nous a rattrapés, ses affidés s’en sont faits bras armés.


He did it all to spare me from
The awful things in life that comes
And he cries and cries

La main gauche de Bunzō se serre sur la crosse du revolver échoué à côté de nous, la droite me caresse doucement les cheveux, en dégage quelques mèches de mon visage que quelques gouttes de pluie viennent enfin soulager. Malgré les ecchymoses, malgré mes lèvres entaillées, malgré les plaies qui le parsèment et le sang séché que vient diluer la pluie naissante, il me regarde avec cette même dévotion, ces mêmes sentiments qu’il m’a témoignés pendant ces quinze dernières années, et le sourire que je m’efforce de lui adresser n’adoucit en rien sa peine. Sa mâchoire se crispe lorsqu’il enfouit son visage dans ma nuque, sa sénestre semble incapable de soulever l’arme qui sera mon salu.

Ils ont toujours su que j’existais, ont toujours su qui j’étais, ont simplement attendu le moment propice pour m’utiliser comme moyen de pression sur lui. Par des menaces, d’abord, le rendant plus paranoïaque et plus fébrile que jamais, puis par les actes lorsque Bunzō, acculé par ses propres pairs, tenta un coup d’état en interne pour en finir une bonne fois pour toutes. Mais le nombre conséquent d’alliés loyaux ne suffit pas à déjouer la traîtrise d’un seul, qui le jeta en pâture à ceux qui ne rêvaient que de faire disparaître celui qui menaçait leurs positions.

Le ninkyōdō* ne signifiait rien pour ceux qui m’attendaient chez moi. Ils l’ont bafoué comme ils m’ont bafouée, malmenée, violentée. Je n’étais ni femme, ni civile, ni innocente à leurs yeux, juste un moyen définitivement lui faire comprendre que c’était la fois de trop.

Ils torturaient mon corps pour mieux torturer son esprit, jusqu’à ce qu’il ne reste que des miettes de l’un comme de l’autre et qu’ils lui donnent enfin rendez-vous sur un chantier désaffecté où il me trouve seule au sommet d’un immeuble en construction. À côté de moi, le revolver qu’il tient en ce moment, et un tantō* lui étant destiné.


Il doit le faire et, bien qu’il s’en sente incapable, je ne voudrais personne d’autre que lui pour me libérer de cette douleur et de ce déshonneur subis. J’use de mes dernières forces pour le serrer un peu plus contre moi et lui glisse mes derniers mots à l’oreille que la pluie recouvre, nous isolant encore un peu plus du reste du monde.

Bunzō m’embrasse une dernière fois dans ce qui nous semble une éternité, un infini que l’on souhaiterait voir durer encore et encore, mais la réalité nous rattrape. J’ai froid, mes forces me quittent peu à peu, l’heure de la délivrance se fait ressentir. Ses lèvres s’écartent doucement des miennes, ses yeux demeurent dans les miens quand l’arme quitte le sol en béton pour venir se poser sur ma tempe. Je devine ses lèvres bouger, j’imagine les mots qu’il a pour moi, mais la pluie et la fatigue ont raison de ma vue, de mon ouïe. Je ferme les yeux, je lâche prise, m’en remets à lui et à l’arme dans sa main. Enfin, le coup de feu retentit, couvert par le grondement sonore d’un orage naissant.

The gun is gone
And so am I
And here I go

Il hurlera, pleurera, restera avec ma carcasse inanimée jusqu’à ce que la nuit tombe. Il m’offrira une sépulture discrète, soignée, dans un lieu connu de nous seuls, avant de s’isoler. Il passera de longs jours en tête à tête avec sa dernière chance de sauver son honneur, ce tantō lui laissant le choix d’une mort honorable ou d’une vie de déshonneur. C’est la lame dirigée vers son abdomen, les mains fermement serrées sur la garde de l’arme, qu’il se ravisera et disparaîtra.

Ses errances le mèneront jusqu’à Los Angeles, où il se posera enfin, où il mettra ses connaissances en mécanique au service d’un garage dans un quartier miteux, où il tentera de m’oublier et d’apaiser sa culpabilité dans l’alcool et la violence, dans les étreintes d’un soir ou de plusieurs nuits. Mais rien ne le soulagera vraiment, rien d’autre que cette haine envers le monde entier, envers lui-même, envers cette femme sortie de nulle part et pour qui il nourrit une aversion sans borne. Car c’est tout ce qui l’anime à présent : la rancœur.

lexique:


PSEUDO : ironbird/ozymandias.
AGE : à partir de quand c’est trop ?
PAYS : France
MULTICOMPTE : quelle idée ? wtf
INVENTÉ, SCÉNARIO OU PRÉ-LIEN : inventé
COMMENT ES-TU ARRIVÉ(E) SUR ATN ? la corruption a un nom :  @Bellamy Rajak
UN DERNIER MOT ? vous êtes beaux drama

FICHE CODÉE PAR NYXBANANA
Manny Reyes
Manny Reyes
Soleil
Avatar : Dave Bautista
Age : 54
Occupation : Receleur de voiture de course après l'échec de son entreprise avec son fils
Localisation : Santa Monica
Affiliation : Lux Network
DC : Ian Smith & Lena Parker Spartan Kaine & Dean Cassidy
Autres : murder song ▬ orito Les-gardiens-de-la-galaxie-2-gif-5f032bb1016c3
Crédits : Tkv
   
Un mécano ! JE SUIS JOIE !!! sheep (comment ça je ne retiens que ce que je veux ? ange )
Bienvenue ( à Los Angeles hehe)
Alianova Sullivan
Alianova Sullivan
We own the night
Avatar : Alicia Vikander.
Occupation : Lieutenant ☾ Fierté de son père, elle a rejoint la division des gangs et des stupéfiants en août.
Localisation : Westwood ☾ Duplex, elle passe pourtant le plus clair de son temps à son travail.
Affiliation : LAPD ☾ Division des gangs et des stupéfiants, son rêve de petite fille qui s'est réalisé.
DC : Haelyn Taylor - Dylane Maxwell - Isadora Johnson.
Autres :
☾Fuis moi je te suis,
murder song ▬ orito Tumblr_o31xig53gH1tdavrqo1_250
Suis moi je te fuis.☽

Crédits : Decrescendo.
   
Bienvenue par Ici. heart
J'aime beaucoup ton personnage. ange
Joyce Shelter
Joyce Shelter
Midnight Sun
Avatar : Anya Taylor Joy || Soeurdelune
Age : 28
Occupation : Vétérinaire à la Pacific River || Santa Monica
Localisation : Exposition Park
Affiliation : Rod chez les Six, parrainée par Valery Nicholson
Autres :
「  MOODBOARD‚
 liensfiche
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murder song ▬ orito C092905762ec18d4bba01b959112ffea0dfdf8b6

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Valery - Haelyn - Billie - Isadora


Crédits : Flairflorae, Soeurdelune
   
Cette fiche et ce personnage... ! bave
Je trouve Orito incroyable par contre.
J'ai tellement hâte de le voir évoluer à LA...

A très vite coeur
Invité
Anonymous
Invité
   
Il a l'air chiant et pas du tout sage, j'aime ça hehe
Amuses toi bien avec ton yakuza des enfers, et garde moi de la place incr
Lou Davis
Lou Davis
Princess Peach
Avatar : Margot Robbie
Age : 31
Occupation : Gérante de la Night Gallery, elle ne s'y trouve pas aussi souvent qu'elle le devrait, préférant opérer dans l'ombre.
Localisation : Une maison en bord de mer, à Santa Monica.
Affiliation : Lux Network
DC : Billie Stevens
Autres : murder song ▬ orito 2de4506d4ba36840e65b5bf56a79c9bc
Crédits : proserpine
   
Bienvenue parmi nous avec ce personnage incroyable cute

J'ai hâte de le voir en jeu !
Chiara Fibonacci
Chiara Fibonacci
We own the night
Avatar : cailin russo
Age : 26
Occupation : pas de grande vocation, une éducation avortée, et voilà la gamine sur le bord du trottoir, les jambes à l’air, les épaules nues et les chevilles abîmées par les talons hauts.
Localisation : l'appartement qui ne paie pas de mine que les Six lui ont trouvé ne la fait pas rêver, elle préfère errer sans but dans les rues de Santa Monica.
Affiliation : ramassée par les Six, elle s’est résignée à n’être qu’une poupée.
Crédits : lunnyii (avatar + icon sign. & profil), awona (codage sign.)
   
bienvenue cute
Felix Mendoza
Felix Mendoza
We own the night
Avatar : Oscar Isaac
Age : 42
Occupation : Laborantin
Localisation : Quelque part à L.A
Affiliation : Revelators
DC : /
Autres : - "Nez" hyper sensible aux odeurs, peut les reconnaître, identifier leurs origines et désormais capable de les décomposer
- souffre d'amnésie chronique
- divorcé, papa médiocre

murder song ▬ orito Wccp

Crédits : tumblr
   
Très chouette ce perso ! Bienvenue ^^
Takiji Orito
Takiji Orito
We own the night
Avatar : Takamasa Ishihara
Age : 37
Occupation : Mecanicien
Localisation : South LA
Affiliation : None
Autres : murder song ▬ orito Tumblr_n1w5h2Ggy11riu9fuo2_500
Crédits : me
   
Oooh merci tous pour vos petits message, ravie que cette tête à claque d'Orito vous plaise ! jaime

Je suis un peu trop HS pour vous répondre à tous individuellement, mais le cœur y est ! heart
The Night
The Night
The day (that) never comes
Avatar : Faceless
Localisation : Quelque part dans la nuit
Crédits : Takverd
   


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