le septième cercle

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le septième cercle

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Lou Davis
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ANGELO SUAREZ

► ft. Francisco Lachowski
(crédit : hel-iswicked)

D’un geste lent et délicat, Angelo a glissé le pouce dans la bouche chaude. Imposant la succion, s’assurant que la canine ne fera pas d’offense. “Bonne fille.” Il murmure, félicite, congratule. Comme l’on rassure une bête, comme l’on dresse un cabot..





IDENTITÉ

PRÉNOM(S) : Angelo Eduardo Gabriel
NOM : Derrière les oripeaux, la lumière. C'est un autre patronyme qui le bafoue ; il se drapa du nom de Suarez, ville de ses premiers instants, avant d'endosser une autre identité. Gamin des rues recueilli par un homme lui offrant la solidité d'un nom et la sécurité du foyer. Délinquant notoire, dévoyé certain, petit con des taudis devenu homme de main. Fils adoptif d'un certain Elias Arterbury, psychologue de renom. Néanmoins sa famille de prédilection, The Six, s'affairant à la tâche de conserver son patronyme premier, Angelo use principalement de "Suarez".
SURNOM(S) : aucun pour le moment (à voir selon l'évolution irp)
ÂGE : 35 ans, né un 22 août.
LIEU DE NAISSANCE : Né à Puerto Suarez, Brésil, sous les rameaux de givres inexistants. Brésilien par la chair mais Américain de coeur. Les papiers sont en règle, circulez.
NATIONALITÉ(S) ET ORIGINE(S) : Nationalité américaine, origines brésiliennes et inconnues.
OCCUPATION : Responsable des bas-fonds, figure de proue de l'ignominie. Pourfendeur des sales vertus et compagnon des vices au bénéfice des Six.
AFFILIATION : The Six.
STATUT CIVIL ET ORIENTATION : célibataire. Bon courage à celle qui attisera son intérêt.
CARACTÈRE

Propension naturelle à la violence, impulsivité fardant les veines. Angelo a le courroux pour compagnon, nourri d’une disposition primesautière. Sanguin, puisque le psyché fécondé par la dureté de la rue, il parvient néanmoins à user d’un sang froid proverbial lorsque la négoce entre en jeu. Peu loquace, l’homme assène, tempête, objecte sans user de trop de salive. Il a la verve aussi incisive que son regard de fiel, le geste mécanique et froid. Le jeune homme se détend parfois sous couvert des oeillades sacrées du père, a le sourire niché dans la commissure d’une lippe narquoise lorsqu’il s’entoure des rares personnes qu’il apprécie encore. Glacé, glaçant, intransigeant mais loyal. La probité lovée dans les viscères envers la famille, le réseau, les catins aussi, peut-être… Mais paradoxalement frondeur face à l’autorité qu’il méprise ; la loi et les flics pour désamour depuis ses premiers délits de prépubère. Un peu de chaleur et de passion qui se révèlent parfois, si Angelo consent à les concéder toutefois.


CHRONOLOGIE
01. La génitrice d'Angelo portait la misère comme un manteau, s'enveloppant dans des suaires cousus de solitude, de disette et de faim. Trop mirifique pour ce monde empli de laideur, elle avait, simiesque, cette propension à s'engoncer dans le sillage d'autres jolies femmes avant elle. La majesté de son physique de poupée russe tenait pour ordre de la déité ; tu es si belle, tu seras mannequin ! avait sifflé le pontife, le mania, l'homme puissant. Si tu glisses dans ma couche et sous mes reins. Elle était tombée enceinte, et cela la remuait, puisque l'amoureux transi ne l'était plus tant et l'abandonna à son sort de mère-enfant célibataire. L'infante trouva néanmoins les moyens financiers de partir, par quelques manoeuvres peu morales, et parvint à rejoindre les Etats-Unis en compagnie du nourrisson et de sa propre mère. Septuagénaire aux traits lourds et marqués, la vieille femme s'apparentait à un être grimaçant constamment. Mais elle faisait partie des desseins de la jeunette. avril 1988 donc, la génitrice fantasme des monceaux du rêve américain, pose le pied à Los Angeles. La ville des anges déchus. 02. Elle a percé, dit-elle, c'est indéniable. Certes pas dans le mannequinat, univers fielleux et sournois, mais dans une toute autre branche. Derrière les caméras, elle se cambre et larmoie ses plaintes pour un public adulte. Actrice de films X, mais c'est une passade affirme-t-elle. Ainsi confie-t-elle le gamin à sa mère, puisque le mouflet jalonne son ascension de trop de contraintes. 1990, le môme a deux ans, est confié à sa grand-mère. La vieille secouait souvent ses cordes vocales de rudesse et d'inclémence envers les autres, mais jamais envers Angelo.  Elle donnait cette constante impression d'absorber tous les déchets que d'aucuns jetaient sur elle ; le dos courbé, un air perpétuel de soumission, mais une aigreur dans la voix pour sa fille, la cabra ('fille de joie', pour les bégueules). De l'amour à revendre pour le petit-fils. 03. Angelo irradie de jeunesse à ses cinq ans lorsque c'est la vieille qui s'éteint dans les taudis de L.A. en août 1993. La génitrice a fardé son teint frais d'un peu d'anthracite et du bleu sous les paupières lorsqu'elle s'est rendue à l'enterrement. A embarqué le môme sous le bras. L'a retourné aux services sociaux trois mois plus tard comme un colis mal fagoté. Les gamins, quel estoc à l'égoïsme ! 04. Angelo est proposé à l'adoption ; ça se bouscule à son chevet. L'exotisme de son prénom sentant bon les pins verdoyants et le sucre des fruits mûrs excite l'ardeur des couples américains. On l'adopte, on le choie, on le vêt, puis on le rend. Consumérisme à l'américaine. Entre deux prêts parentaux, la génitrice revient le chercher et le gave de palabres aimantes susurrées en russe. Propagande imbécile puisqu'elle avale les antidépresseurs comme des poignées de cheetos. Angelo se traîne de familles en familles, nouant des relations branlantes avec les potentiels adoptants ne craignant que trop l'ombre de la génitrice. Bientôt l'âge devient un problème ; les services sociaux le relèguent dans les quartiers plus sensibles. Parfois, ça mord à l'hameçon, pour un peu d'aides financières. Angelo se forge une carapace de fer et d'acier ; verve cinglante et argotique, il traîne dans les rues et commence les petits délits. Des portefeuilles volés dans les rames du métro bondé, aux larcins plus importants, le gamin déploie en ses veines l'ardeur de la haine. De petit délinquant des rues, il devient recrue d'un gang pré-pubère sillonnant les taudis. Gang numériquement dérisoire, gang de gamins cruels, gang séditieux. 05. De nouveau, un délit, celui de trop. 2003, le gamin a quinze ans et a eu le malheur de braquer un ponte du pétrole sur le perron de l'hôtel de luxe. La rolex était pourtant alléchante mais c'était sans compter la puissance financière du businessman. Lui, pèse dans le jeu de la justice et les flics l'ont senti. T'es bon pour la taule, Suarez et d'ailleurs, tes papiers, c'est des vrais ? Bien sûr que non, bande de cons. Mais le gamin scelle les lèvres comme il se rembrunit. Il a droit aux honneurs cette fois-ci ; passage devant le juge, l'air pas trop con celui-ci. A la fois débonnaire et fermé, préconise au pauvre môme d'aller se faire voir chez le psychiatre. 06. Ses rouspétances solitaires ne lui épargnent pas les rendez-vous imposés chez le professionnel. Angelo a quinze ans lorsqu'il passe la porte du psychiatre, un dénommé Elias Arterbury. Les premières séances demeurent laborieuses tant l'adolescent s'approprie parfaitement ces moments qui lui semblent pénibles ; hermétique et glacé, seules quelques insultes glissées en portugais butent sur ses lèvres. Réceptionnées par son vis-à-vis lui rétorquant dans cette même langue de se tenir droit. Interdit par l'entreprise, Angelo semble déboussolé et se livre peu à peu au compatriote 07. Ils ont tissé des liens de confiance, si bien qu'avec le temps ils ressentirent cette conviction qu'ils nourrissaient un affect presque filial. Angelo a seize ans lorsque Elias propose de l'adopter, endossant dès lors et sans ambages le patronyme d'Arterbury. Du moins, sur le papier. L'adolescent a pourtant l'amour des rues crasses trop vorace, le bruit des talons trop hauts fracassant l'asphalte lui manque. Ces trafics de petites substances hallucinogènes également, l'excitation sotte lorsque l'on vole une caisse, la poigne virulente quand on broie le cou de cet autre, l'intrus, l'ennemi. Cette violence dans les entrailles, intarissable et discontinue. L'engeance des sales bitumes est approché par un membre d'un gang : The Six. "On fait dans l'import-export", qu'il clame d'un rire stupide. Il n'en fallut d'avantage pour Angelo, lequel s'engouffre allègrement dans les rouages viciés, escalade les échelons. Termine presque jusqu'en haut de la chaîne alimentaire quelques années plus tard. Responsable des bas-fonds.

PROMPTUAIRE DES VICES

(extrait de sa fonction au sein de The Six)
TW : VIOLENCE PHYSIQUE, PROXENETISME

Angelo s’est vêtu à l'occasion de son plus beau costume ; pour accueillir les nouvelles filles, disait-il, il fallait faire bel effet. Puisque le diable ne s’habille guère de guenilles et qu’il avait pour jeu de vice, insouciant et sournois, de les frapper d’une beauté aérienne avant de les molester de la main. "Ce qui est frappant", lui avait un jour confié Fiodor, partisan intra-gang - et l’on admirera le vocable ironiquement employé pour l’occasion - "c’est que plus une personne répond foutrement bien aux canons de beauté de la société, et plus on lui fait confiance. Et bien moi, j’ai jamais fait confiance à Tim Harris." Ce à quoi Angelo s’était tenu de répondre que lui ne se serait guère fié à Boris Eltsine en effet, puisque l’homme portait sur lui une disgrâce bouffie pas bien engageante. « On y est. » L'homme braque fortement le volant du véhicule, s’engageant sur de sombres sentiers à peine éclairés des lampadaires miteux. Le chemin de gravier les mène à une hideuse et sinistre bâtisse, là où la lumière à l’instar de la vie, se tait, et dans laquelle mugissent pourtant les plaintes sourdes des pauvres âmes arrachées à leurs mères patrie. « Paraît que y a des très bons produits ce soir. » Fiodor se dégage de l’habitacle, époussette son veston, sensiblement marqué par le mutisme inusité de Angelo. Mais il s’efforce, sans discontinuer, à maintenir le lien par la palabre. « Les autres sont déjà sur place. » Angelo s’emploie à sceller les lèvres ; il porte sur lui le plomb mortifère du soleil brésilien lorsqu’il déploie son corps à l’extérieur du véhicule. Le faciès étonnamment mature et fermé, de ces traits durcis par la volonté d’en découdre ; Fiodor le sent. Ce fiel embourbant ses tripes, infiltrant son système veineux ; Angelo ce soir, tient la haine entre les mains.

***

« Pourquoi elle chiale celle-là. » Dans le ventre de la bâtisse aux murs crasses, attendent six jeunes filles à la nuque courbée. Frêles et grelottantes, la peau molestée d’hématomes jamais trompeurs, elles emplissent leurs poumons d’une peur intarissable. L’enjeu de la survie les fait frémir lorsqu’elles comprennent, à moitié vêtues, que leurs corps seront bientôt souillés des vices de ces soldats du stupre. Angelo s’est arrêté près de l’une d’elles ; blondasse chétive aux côtes saillantes. Il l'a toisée de ce mépris visqueux, de ce regard inhumain fardé de dégoût.  « On a dû flinguer sa frangine. » rétorque un homme, d’un signe de tête désignant un cadavre traîné au coin de la pièce. « Cette connasse était possédée, faut bien les r’cadrer sinon ça part toujours en couille avec les gonzesses. » De son mutisme, Angelo abonde. Recadre son iris sur la demoiselle aux joues mouillées comme il l’interpelle de son timbre glaçant. « Tu pèses combien. » Des hoquets dilués de larmes s’attèlent à lui répondre, provoquant l’impatience. La gifle, violente et sourde, s’abat sur la tempe de l’apeurée lorsqu’il réitère : « Combien. » "Quarante-huit kilos", finit-elle par souffler, sonnée entre deux complaintes, d’une réponse invoquant le soupir glacé de Angelo. Inlassablement et bien malgré lui, l’agresseur siffle son désarroi : « C’est un sac d’os, faudra la remplumer. » La complicité tarie s’exprime pourtant par les ignominies de ce soir, les regards qui se comprennent. Aussitôt Angelo fait retomber sur elle son intérêt relatif comme il se penche à son oreille d’un timbre employant l’inclémence ; « Tu sais c’qu’on fait d’un cadavre de quarante-huit kilos ? On l’découpe en six morceaux. Six. Pas besoin d’plus. T’es du genre à nous faciliter la tâche avec ton gabarit d’fillette alors fais-toi au moins cette faveur : arrête de chialer. » L’humiliation se cale tout contre sa paume s’abattant sur la joue de la concernée, de quelques tapes approbatrices comme elle opine en silence.

La petite l’ignore encore, mais ce qu’elle s’apprête à ramasser annihile toutes les affreuses supputations logeant dans le coin de son cerveau. Elle a beau appréhender la douleur et suffoquer déjà, mouiller ses joues de lait d’autant de larmes et de défaite, c’est qu’elle n’a pas idée de comment son corps suffira de parc d’attraction à eux tous ni de combien l’humiliation tosse fortement jusque dans la chair et de manière répétée sous l’effet du ressac. Des mers et des houles qu’ils vont lui mettre à l’intérieur, de son crâne comme de son sexe, les hommes de The Six appellent ça “le temps qu’ça prend pour bien les casser”. Broyer leurs corps et leurs esprits sur la vieille rengaine d’un bruit de fond bourdonnant jusqu’à leurs oreilles ; y’a pas moyen, petite, que tu nous réchappes. Et c’est sous les néons blancs et froids que ça s’agite, que tout se négocie. Le trading spéculatif des putes en devenir s’apparente à une logistique bien rodée se calquant sur l’administration à l’ancienne ; que ça coche bien les cases et que ça rentre dans les normes, pourvu que l’on parvienne à les fourrer dans des squats, si toutefois elles demeurent bonnes à fourrer tout court.

Angelo s’est assigné la tâche d’évaluer le produit comme un chargé d’études marketing de chez Apple ; il a testé sans rechigner et sans grande surprise pour autant la marchandise ressemblant de trop aux précédentes. Avec quelques variations sans doute ; plus jeune, plus fraîche et plus fonctionnelle. L’avantage des nouvelles arrivantes c’est qu’elles ont toujours cette verve quelque peu primesautière, ce goût amer de la découverte et cette peur, un peu vorace, bien logée sous les côtes. Cela les rend belles, juteuses et excitantes. Les hommes alentour se sont contentés d’écouter les plaintes et d’observer les possibles capacités de la pauvresse tout en inclinant la tête en signe d’approbation ; de comment elle se cambre - mal - et la douleur qu’elle avale péniblement. L’inclination naturelle qu’elle a, à user de sa résilience afin de répondre à son instinct de survie, c’est comme un paratonnerre. Et Angelo parmi eux, bras croisés sur le torse et le dos appuyé contre le mur, n’a pas cillé son humanité. Ce qu’il voit et ce qu’il entend, il n’a rien contre. Outrager salement les filles, ça fait près de dix piges qu’il s’y adonne et ça a fini par bêcher le compartiment de la normalité dans son cerveau. Angelo, c'est la preuve vivante que Bourdieu n'a pas écrit que des spéculations d'intellectuel gauchiste. Ses débuts pourtant, n’étaient foutrement pas prometteurs ; c’est qu’il avait la gerbe, le p’tit, lorsqu’il les voyait tringler ces filles de manière obsessionnelle et mécanique. Il était pourtant habitué à la violence, l’odeur ferreuse du sang, l’adrénaline, les sales visions imprimées sur la cornée et qui ne partent pas, pas même avec quelques grammes de coke dans le sang. Et c’est pas tant qu’il les aimait, les femmes. Du moins pas celles qui ressemblaient à sa daronne, avec leur beauté froide et leur hypocrisie suintant fort l’égotisme faisandé. Mais fallait voir comment il s’était accroché à la notion familiale de ce gang insidieux. Et ça avait fini par bien s’imprimer dans son cerveau tout en optant pourtant pour la dissociation des deux mondes ; celui des putains, et les autres.




PSEUDO : luciole.
ÂGE : 28 ans
PAYS : france
MULTICOMPTE : na
INVENTÉ, SCÉNARIO OU PRÉ-LIEN : inventé (réadaptation d'un ancien perso)
COMMENT ES-TU ARRIVÉ(E) SUR ATN ? via discord
UN DERNIER MOT ? j'attendais un forum comme celui-ci depuis si longtemps  pliz .

FICHE CODÉE PAR NYXBANANA
Manny Reyes
Manny Reyes
Soleil
Avatar : Dave Bautista
Age : 54
Occupation : Receleur de voiture de course après l'échec de son entreprise avec son fils
Localisation : Santa Monica
Affiliation : Lux Network
DC : Ian Smith & Lena Parker Spartan Kaine & Dean Cassidy
Autres : le septième cercle Les-gardiens-de-la-galaxie-2-gif-5f032bb1016c3
Crédits : Tkv
   
Bienvenue avec ce personnage fort prometteur ! incr
Je trépigne d'en savoir plus bave heart
Invité
Anonymous
Invité
   
j'aime beaucoup ce choix de fc !
j'ai hâte d'en lire plus ! bienvenue cute
Invité
Anonymous
Invité
   
Merci à vous pour votre accueil luv
Invité
Anonymous
Invité
   
olalala mais cette avalanche de personnages divins ce soir, c'est pour faire flancher mon kokoro.
absolument fan de tout tes choix ainsi que ta plume qui dessine un angelo fascinant, j'ai hâte d'en découvrir plus sur lui.  cute
cette invasion de six aussi pfiou, j'aime j'aime j'aime.  l

la bienvenue dans le coin et bonne rédaction à toi!  Sparkles  
Valery Nicholson
Valery Nicholson
Serment d'hypocrite
Avatar : Matthias Schoenaerts
Age : 46
Occupation : ancien chirurgien cardiothoracique reconverti vétérinaire. Propriétaire d'une clinique plantée à Santa Monica.
Localisation : Entre Santa Monica et Venice, où il vit. Où les Six ont leurs repères.
Affiliation : médecin des Six, l'éthique et la morale basses.
Autres :
Crédits : chandelyer (avatar et profil) | awona (signa)
   
On sent d'ici la violence qui infuse.
Ça va être incroyable. fan

Quel plaisir de voir le Juge des bas-fonds tenté. Sparkles
C'est pas le personnage le plus évident, mais Angelo paraît déjà catalyser parfaitement la crasse de ce rôle. Il me tarde de lire son histoire, de le découvrir en jeu, de venir t'embêter pour un lien (le travail de Valery imposant d'intervenir auprès des filles comme des Juges). coeur

Bienvenue dans nos rues !
Lou Davis
Lou Davis
Princess Peach
Avatar : Margot Robbie
Age : 31
Occupation : Gérante de la Night Gallery, elle ne s'y trouve pas aussi souvent qu'elle le devrait, préférant opérer dans l'ombre.
Localisation : Une maison en bord de mer, à Santa Monica.
Affiliation : Lux Network
DC : Billie Stevens
Autres : le septième cercle 2de4506d4ba36840e65b5bf56a79c9bc
Crédits : proserpine
   
Ça promet d'être un personnage particulièrement intéressant, et ta plume est déjà très agréable à lire.
J'ai hâte d'en apprendre plus, en attendant bienvenue à toi parmi nous !
Felix Mendoza
Felix Mendoza
We own the night
Avatar : Oscar Isaac
Age : 42
Occupation : Laborantin
Localisation : Quelque part à L.A
Affiliation : Revelators
DC : /
Autres : - "Nez" hyper sensible aux odeurs, peut les reconnaître, identifier leurs origines et désormais capable de les décomposer
- souffre d'amnésie chronique
- divorcé, papa médiocre

le septième cercle Wccp

Crédits : tumblr
   
Bienvenue ici incr
Invité
Anonymous
Invité
   
Merci merci merci pour votre accueil adorable TT
J'espère être à la hauteur du rôle en tous cas ! Au plaisir de vous recroiser irp (enfin, j'sais pas si le plaisir sera partagé oupsi )
Joyce Shelter
Joyce Shelter
Midnight Sun
Avatar : Anya Taylor Joy || Soeurdelune
Age : 28
Occupation : Vétérinaire à la Pacific River || Santa Monica
Localisation : Exposition Park
Affiliation : Rod chez les Six, parrainée par Valery Nicholson
Autres :
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 liensfiche
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le septième cercle C092905762ec18d4bba01b959112ffea0dfdf8b6

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Valery - Haelyn - Billie - Isadora


Crédits : Flairflorae, Soeurdelune
   
Bienvenue parmi nous avec ce personnage de folie pitie

Ca faisait si longtemps que j'avais pas vu Francisco sur un forum ! Joli choix de FC et joli choix de PL !
J'ai adoré lire ta fiche par contre, tu as une jolie plume et on pourra facilement se trouver un lien... Normalement hm Vu que Joyce est littéralement les bras droit et gauche de Valery facepalm

Hâte de suivre les aventures d'Angelo en tout cas !
Invité
Anonymous
Invité
   
@Joyce Shelter merci pour cet accueil bienveillant incr
Ce sera avec plaisir pour un lien ! De toutes façons j’irai voir tout ce beau (non) monde des Six dans un premier temps (et si toutefois ma fiche convient) heart
The Night
The Night
The day (that) never comes
Avatar : Faceless
Localisation : Quelque part dans la nuit
Crédits : Takverd
   


Tu es validé

Welcome to the dark side


Nous te souhaitons officiellement la bienvenue parmi nous ! Maintenant que tu es validé, voici comment faciliter ton intégration :

▬ Tout d'abord, assure-toi d'avoir bien pris connaissance du concept d'ATN, c'est un point essentiel.
▬ Nous te recommandons également de lire le guide du joueur qui t'aidera à t'y retrouver sur le forum, notamment concernant les différentes intrigues et évolutions du contexte.
▬ Nous t'encourageons à créer une fiche de liens pour ton personnage, afin d'y indiquer les liens que tu pourrais rechercher, mais également pour permettre aux autres membres de te contacter. Il ne faut surtout pas hésiter à aller vers les autres pour leur proposer tes idées.
▬ Tu peux également créer un moodboard, cet espace t'es destiné, utilise-le comme bon te semble.
▬ Si tu ne sais pas par où commencer, cet espace est fait pour toi. Tu y trouveras les RP libres en attente de réponse, mais également les contextes qui attendent preneurs.
▬ Si ton personnage est friand de réseaux sociaux, il pourra ouvrir un compte Instagram, ou s'inscrire sur Tinder.

Considère ATN comme un terrain de jeux qui ne demande qu'à être exploité, n'hésite pas à participer aux évents, aller vers les autres joueurs, lire les newsletters, ... Et s'il reste des zones d'ombres, n'hésite pas à contacter le staff via le compte admin.



Ian Smith
Ian Smith
Tigrovi
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Age : 36
Occupation : Recrue tigrovi
Localisation : Skid Row
Affiliation : Tigrovi (recrue)
DC : Manny & Lena & Spartan & Dean
Autres : Real name : Jlaaden Saranovic (né à Sarajevo)
le septième cercle YZXroSK
le septième cercle Taz-le-diable-de-tasmanie

Crédits : Tkv
   
Hello,

je passe par ici ! sheep
Ian et Angelo ont le même parcours de galère dans les centres d'adoption et de foyer entre 1994 et 1998 grosso modo. Ils auraient pu se croiser à un moment ou un autre soit en étant placé dans la même famille d'accueil quelques mois, soit au sein d'une institution. On peut partir sur une période quand ils ont neuf ou dix ans ?

Comme Jlaaden (Ian aujourd'hui) est chez les Tigrovi, alliés des 6, il y a moyen de faire quelque chose je pense hm
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